10 janvier 2022

Récapitulatif des bonnes pratiques

 Vous avez compris que les erreurs récurrentes de choix alimentaires inadaptés, couplés à des carences et bien sûr aux stress de la vie (les ruminations sont très nocives pour les télomères!), provoquent un état inflammatoire persistant, ce qui provoque la survenue de toutes les maladies chroniques et dégénératives. Mais rien n’est définitif et vous avez la liberté d’agir pour améliorer votre santé !

Voici donc un récapitulatif de ce que je vous incite à pratiquer :

- Nettoyage du système digestif (foie, reins, intestins)

Alimentation selon votre groupe sanguin

- Alimentation sans gluten ni laitages (vous pouvez être intolérant au gluten sur le plan neurologique, et, en l’absence de manifestations physiologiques probantes, l’ignorer )

- Toujours commencer vos repas par du cru 

- Consommer au moins 51 % de cru, en poids, à chaque repas

- Cuissons douces

- Consommer des portions très réduites de glucides

- Consommer des prébiotiques à chaque repas

- Limiter le gras cuit et consommer la bonne proportion d’omégas 3 par rapport aux omégas 6 à chaque repas (pas plus de 5 omégas 6 pour 1 oméga 3) ; rappel : les omégas 3 permettent de prévenir les affections neurologiques ; les omégas 6 sont à limiter dans la mesure où ils favorisent l’inflammation s'ils sont en trop grande quantité.

- Suivre la méthode acide-base à chaque repas (indices pral)

- Suivre une alimentation globalement à index glycémique bas ou moyen(une alimentation pauvre en glucides réduit les risque d’oxydation métabolique)

- Assiette riche en couleurs, BIO

- Compléments alimentaires : vitamine D, magnésium et éventuellement d’autres comme zinc, vitamines du groupe B ,Silicium organique, vérifier les apports en sélénium ; si vous choisissez un complément multivitamines et minéraux, choisissez-le sans fer, sans cuivre et sans manganèse.

- Jeûner de temps en temps ou réduire sa ration est bénéfique

- Très bien mastiquer

- Essayer de faire 2 repas, et une collation, dans un espace temporel égal ou inférieur à 12h

- Bonne lumière

- Activité physique

- Activités de détente : rire, lire, jouer, danser…

Si vous avez du mal à abandonner le blé, pensez à ce que le cardiologue William Davis a écrit dans le livre « pourquoi le blé nuit à votre santé « : « lorsque le blé est digéré, il se dégrade pour donner des composés ayant les mêmes effets que la morphine. Ces composés se fixent sur les récepteurs aux opiacés dans le cerveau, générant une légère euphorie. Quand leur action est bloquée ou que vous ne consommez plus d’aliments produisant des exorphines, vous pouvez ressentir comme un état de manque fort déplaisant « . Il qualifie le blé moderne de « poison chronique parfait »

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